Les techniques d’ostéointégration ne concernaient au début que les patients édentés totaux, puis elles ont impliqué
progressivement des patients partiellement édentés et enfin, elles se sont énormément développées pour les patients avec un édentement unitaire sur des crêtes cicatrisées, puis vers la pose
immédiate de l’implant après extraction. Par conséquent, il devenait normal de placer des implants sur des adolescents atteints d’agénésie congénitale et sur des adolescents sujets aux accidents
ou de jeunes adultes de moins de 30 ans après l’échec de tout traitement dentaire conservateur.