de gauche à droite : Olivier Etienne, Stéphane Cazier, Jean-François Chouraqui, nos 3 conférenciers et Serge Zagury, membre du Bureau AO paris et référent de la journée
A l'accueil : Henry Abehsera, trésorier AO Paris et Catherine Dognon Haddad
Un étudiant, Dr Franck Sebban et le représentant de Lyra, partenaire de la journée
de gauche à droite : les Drs Serge Zagury et Franck Sebban, Jacques Besserat et le Dr Eric Castel,
de gauche à droite : Jean-François Chouraqui, Stéphane Cazier, et Serge Zagury
de gauche à droite : Dr Mickaël Elbaz, Dr Albert Pinto et Jacques Besserat
de gauche à droite : Dr André Sebbag, Mylène Popiolek Sebbag, Dr Jacques Bessade, Dr Michele Albou Temmam, Dr René Arav et Dr Sydney Boublil
Le Dr Raoul Tibi et l'équipe Sunstar (Patricia et Zineb)
Olivier Etienne en plein exposé...
de gauche à droite : Dr André Saadoun Dr Jacques Bessade, Dr André Sebbag et Dr Truong Nguyen
Les Drs Laurent Temmam (gauche) et Mickaël Uzan (droite) entourent le Dr Serge Zagury
de gauche à droite : les Drs Eric Castel, Géraldine Fima Lilti, Franck Sebban, Pascale Guetta, Pascale Abitbol et Carole Krief (Dentalinov)
Nos trois conférenciers – Olivier Etienne, Stéphane Cazier et Jean François Chouraqui qui ont une expérience datant d’une décennie en moyenne – ont su méthodiquement nous encourager à franchir le pas. Cette conférence fait suite à celle de décembre 2017 sur le flux numérique avec Gary Finelle. En proposant d’affiner nos connaissances sur les modes opératoires, O. Etienne (Strasbourg) a posé les indications de l’empreinte optique, premier maillon du flux numérique. Désormais le poudrage ne s’impose plus, et le temps de l’empreinte avoisine les 5 – 10 secondes. Tous les champs de notre exercice sont concernés par la caméra optique : l’orthodontie, la prothèse, la dentisterie restauratrice, la chirurgie implantaire, voire même l’occlusion. Ensuite, il faut savoir planifier son temps opératoire, selon qu’on souhaite pratiquer une CFAO directe ou indirecte.
La première solution nécessite une caméra couplée à une imprimante 3D, type Cerec, afin d’éviter une seconde séance et de limiter l’exposition des tubullis. La CFAO indirecte faire rentrer le prothésiste dans la boucle, de la finalisation de l’empreinte. En choisissant ses indications pour la solution en 1 temps, il faudra apprendre et se familiariser à modéliser les cas simples. Il faut compter entre 1 heure et 1 heure 45 selon que l’on réalise un onlay complexe poli en céramique, ou une couronne transvissée sur implant en EMAX CAD ®.
La clé du succès passe aussi par une empreinte aux limites visibles et non souillées. La lecture per opératoire de l’empreinte optique autorise en temps réel des retouches qui pouvaient échapper à la vigilance de l’opérateur. La maitrise et le choix des blocs de composite ou de céramique nous amènent à personnaliser la définition et de coloration que l’on peut confier à son aide opératoire. Pour des restaurations hautement esthétiques, la stratification de la céramique sur le bloc préparé sera confiée au prothésiste. Un travail d’équipe en somme !